Françoise Roullier

Graveure

Planter, peindre, graver pour moi, c’est tracer son sillon dans la matière. Ce geste de la gouge, du burin, du berceau ou de la pointe sèche, c’est atteindre par différentes métamorphoses de l’animal, de l’insecte, du végétal, nos peurs, nos songes.
Le geste peut être effleurement, caresse ou griffure, accélération, empreintes, traces laissées dans la matière de la matrice : cuivre, plexi ou lino. Toutes mes traces disent le plaisir sensuel de côtoyer et de participer à mon quotidien, dans mon jardin, prés de la nature.
Mon univers, mes histoires sont grouillantes d’insectes, de fleurs
Mes mondes sont remplis des joies du jour et des angoisses de la nuit.

Plus d’infos : francoiseroullier.com

Sur le plan : 1 – Atelier Charlotte Courcoul