Muriel Astier-Lameignère

Carnettiste-Dessinatrice-Peintre

Muriel-Astier-LameignèreNée à Paris
Ateliers de Sèvres
Diplômée de l’École Sup. des Arts et Techniques
Travaille dans la pépinière d’artistes
«Les Ateliers de la morinerie» à Saint-Pierre-des-Corps

Une recherche artistique insatiable ou tout est prétexte au dessin et à la couleur
qui démarre dès l’enfance, vers 5 ans, en prenant des cours de fusain dans un atelier d’artiste.
Sa source d’inspiration est l’Humain dans son rapport avec sa nature profonde dualiste, sa place
dans son environnement et sa relation avec la Nature.
Après avoir traité le dessin de façon académique in situ avec le carnet de voyage, elle décide de s’en détourner
en réalisant ses œuvres à partir de sons rythmiques afin de détourner le mental.
Ces sons juxtaposés avec l’aide d’un musicien, lui permettent d’éloigner la pensée, sans aucune orientation, la seule intention étant la réalisation d’un portrait.
Ces portraits noirs et blancs ou noirs colorés, petits et grands formats,
réalisés au fusain en grande partie, traitent de l’obscurité ou de la face cachée des humains.
Sa peinture aux couleurs éclatantes traite, à l’opposé, de la
numinosité et l’élévation humaine.
La Nature y est omniprésente, imaginée, pour marquer le lien entre celle-ci et l’Humain
et son importance.
Ses pastels et ses «mandalas» réalisés à la pierre noire et pastels joignent les deux pôles opposés,
Ses œuvres diffèrent tant par le sujet qui est de l’ordre de la transformation, du passage, du centrage,
de l‘amour ou de la solidarité que par la technique où les noirs se fondent ou s’opposent à la couleur.
De nouvelles séries voient le jour depuis le premier confinement en 2020…
La réflexion et l’intention sont moins présentes voire absentes,
la création démarre de «son réservoir de ressource» et devient plus verticale.
Aller vers l’essentiel, sans se documenter, sans photo, sans montage ou autre.
Faire jaillir à partir de soi le dessin devient sa principale préoccupation, elle souhaite un dessin pur, imparfait, authentique et sensible dans son exécution.
Les portraits deviennent intemporels car passionnée d’Histoire, l’infiniment grand rejoint l’infiniment petit et des créatures fantastiques traversent un univers plus onirique, sensible et organique, voire spirituel.
Sa peinture répond aux nouvelles exigences de son dessin.

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Sur le plan : 7 – Atelier des rêves